Félicitations aux lauréats 2013 !

Cliquez sur les noms des organisations ci-bas pour lire leur résumé des actions entreprises.

Prix Matières résiduelles | remis par Recyc-Québec
Événements corporatifs / Colloque, congrès, conférence - Assemblée générale annuelle 2012 / Caisse d’économie solidaire Desjardins

Assemblée générale annuelle 2012

Nous sommes L’ institution financière spécialisée en économie sociale et en investissement socialement responsable au Québec.La complémentarité de notre démarche pour l’organisation de notre Rendez-vous solidaire 2012 est novatrice. Ainsi, notre événement a été classifié niveau 4 (norme en gestion responsable d’événements BNQ 9700-253), ce qui est exceptionnel.

Pour AGA 2012, nous avons décidé de mettre en place une démarche responsable complète et intégrée. Notre événement se déroulait à Joliette pour souligner l’ouverture d’une nouvelle succursale dans cette région. Nous avons organisé un système de navettes, en provenance de Montréal et de Québec. Toutes les émissions de GES générées par les déplacements à l’événement ont également été compensées en double.

Nous avons sélectionné des fournisseurs situés dans la communauté où se déroulait notre événement. Pour être cohérents avec notre créneau d’affaires, nous avons sélectionné beaucoup d’entreprises déconomie sociale. Nous trouvions extrêmement important de mettre en valeur nos membres clients qui sont, de par notre mission, socialement engagés. Nous avons également accordé une importance à l’engagement des fournisseurs envers le développement durable.

De plus, nous avons, en collaboration avec notre service traiteur, élaboré un menu qui mettait en vedette les produits locaux certifiés « Goûtez Lanaudière ». Même si l’événement se déroulait au mois d’avril, nous avons réussi à développer un menu quasi entièrement composé de produits locaux et certifiés de provenance régionale. Nous avons également fait la promotion de ces produits locaux de diverses façons pendant le repas.

De plus, nous nous sommes démarqués dans la gestion de nos matières résiduelles. Voici une anecdote à ce sujet. Nous avions apporté une balance pour peser les matières générées, mais il y avait si peu de matières et principalement de déchets ultimes que notre balance affichait 0. Ainsi, l’équipe du traiteur a dû retourner à ses bureaux nous chercher une balance alimentaire ultra précise.

Nous avons réduit au maximum le matériel nécessaire. L’inscription à l’événement s’est faite en totalité via Internet. Nous avons privilégié l’utilisation des équipements déjà en place sur le lieu d’accueil, en plus de favoriser les projections sur écrans plutôt que sur des affiches. Nous avons aussi pris la décision de ne pas remettre de cocardes ou d’autocollant pour l’identification.

Nous avons également fait des choix responsables visant à ce que le matériel puisse être réutilisé. Par exemple, pour le décor, des plantes vertes ont été achetées dans l’optique qu’elles soient ensuite utilisées pour décorer notre succursale située à Joliette. Quant au matériel remis aux invités, nous avons opté pour des crayons faits à partir de matériel recyclé ET recyclables. Une feuille de notes faite de papier recyclé post-consommation contenant des semences de fleurs de diverses variétés a été remise à chaque invité.

Nous avons mis en place un système de gestion des matières reyclables et compostables. Nous avons également sensibilisé les employés du traiteur à
la bonne gestion et au tri adéquat des matières résiduelles, en faisant une courte formation sur le système en place.

La commande de nourriture avait été planifiée de façon à ce qu’il n’y ait pas ou très peu de restes de nourriture, pour éviter le gaspillage alimentaire. Les restes de nourriture ont été remis gratuitement à divers organismes d’aide aux personnes en difficultés.

Finalement, la démarche de gestion responsable mise en place a été communiquée avant, pendant et après l’événement.

Événements grand public - Mondial des Cultures de Drummondville

Depuis sa création en 2005, le comité Mondial Vert s’engage à réduire considérablement les impacts environnementaux de l’événement dans la
communauté : recyclage multimatières, compostage, stationnement pour vélo, navettes et transports en commun gratuits, journée sans ma voiture,
activités d’éducation et de sensibilisation (la Zone Verte), plantation annuelle de 5 000 arbres et plus encore !


Tri des matières résiduelles et organiques

L’équipe du Mondial Vert élabore et met en place des processus visant à réduire les matières résiduelles à la source. Lors l’édition 2012,
moins de dépliants ont été imprimés et remis à l’entrée. Les festivaliers étaient plutôt invités à consulter la programmation de l’événement sur leur téléphone intelligent.

Ensuite, durant les 11 jours de festivités, une patrouille verte organise et supervise la collecte de recyclage multimatières sur le site et au centre
d’hébergement où se fait également la récupération des matières compostables. De plus, tous les repas sont servis dans de la vaisselle
oxo-dégradable et autant les artistes que les festivaliers sont encouragés à diminuer leur consommation d’eau en bouteille.

Finalement, le Mondial Vert incite les festivaliers à récupérer leur macaron qui est fait d’aluminium. L’argent obtenu par la revente de l’aluminium est remis aux Scouts Centre-du-Québec afin de financer leurs activités.

En 2012, le taux de récupération moyen, toutes matières confondues, sur tous les sites du festival et au centre d’hébergement, a atteint les 74%,
une augmentation notoire de 14 % par rapport à 2011. Cette collecte de multi-matière a permis d’amasser :

  • 4 750 bouteilles de vin comparativement à 2 000 en 2011;
  •  7,5 kg de piles;
  • 4,5 kg de bouchons de bière;
  • 500 g de goupilles;
  • 500 g de plastiques mous;
  • 31,36 kg de papiers et cartons comparativement à 10 kg en 2011;
  • 3 600 litres de matières compostables.
Prix Alimentation
Colloque Organiser un événement avec succès: les choix qui font la différence! de Agora Communication

Dès les premières étapes de planification, des objectifs ont été fixés et des actions, identifiées dans cinq catégories : le choix des fournisseurs; la gestion du matériel, des sources d’énergie et de l’eau; la gestion des matières résiduelles; l’alimentation et le transport.

Les fournisseurs du Colloque Organiser un événementavec succès : Les choix qui font la différence ! ont été choisis en privilégiant des entreprises et organismes locaux : d’une part, les instigateurs de l’événement, tous de la région de Québec, ont contribué dans une grande majorité. Les autres fournisseurs étaient situés à Québec, et une attention particulière a été portée à la mise en valeur du patrimoine culturel et du talent local. Soulignons notamment la station de mise en valeur des produits de l’érable, ainsi que les deux troupes de musiciens de la région, sur l’heure du dîner et à la fin de la journée.

Une attention toute particulière a été portée au menu. Le service traiteur a eu l’audace de s’engager dans l’identification des ingrédients, ce qui a permis de constater qu’une forte proportion des aliments sélectionnés provenait d’un rayon de 300 km. De plus, de très nombreux aliments sélectionnés pour le menu détenaient une certification biologique, de même qu’une certification de provenance locale (Aliments du Québec, Produits de Charlevoix, etc.) Ce menu soigneusement élaboré a permis de cumuler 72 points sur un maximum de 100 selon la grille de certification du BNQ.

La sensibilisation directe auprès d’autres organisateurs d’événements.
L’objectif de ce Colloque était d’échanger sur les meilleures pratiques avec des organisateurs d’événements actifs – et de prêcher par l’exemple, dans toutes les sphères du Colloque. Le volet écoresponsable ne fait pas exception : un effort substantiel a été déployé afin de sensibiliser tous les participants au volet écoresponsable de l’événement et aux actions qu’ils pouvaient poser, tant dans le cadre du Colloque que dans leurs propres événements.

Forum bioalimentaire de la Côte-Nord de la Table bioalimentaire de la Côte-Nord

Forum bioalimentaire de la Côte-Nord

Le Forum bioalimentaire de la Côte-Nord permet, à chaque deux ans, aux producteurs régionaux de faire découvrir leurs produits et d’apprendre avec des conférences choisi pour eux. En plus d’être régional, cet événement rempli les critères afin d’être classifié niveau 2 par le Conseil québécois des événements écoresponsables du Réseau des femmes en environnement selon la norme québécoise en gestion responsable d’événements (BNQ).

Fournisseur :

Les fournisseurs provenaient de la Côte-Nord le plus possible. La grande majorité des fournisseurs ont leur siège social, qui inclut leur succursale, à moins de 500 km du lieu de l’événement. Près de la moitié venait de moins de 100 km du lieu de l’événement. Un peu plus de la moitié des entreprises est un OBNL, une COOP ou une organisation publique ou parapublique, a un programme de formation pour leurs employés et a un programme d’équité salariale ou d’égalité à l’emploi.

Pour les repas, le traiteur et l’hôtel ont fourni de la vaisselle réutilisable et ont réduit le suremballage (lait, sucre…).

Alimentation :

La majorité des ingrédients principaux et secondaires utilisée dans les plats provenaient de moins de 500 km du lieu de l’événement. Pour la plupart, ils étaient de la région, sauf exception lorsque les produits n’étaient pas disponibles sur la Côte-Nord, ils étaient au moins québécois. La collecte des aliments locaux s’est faite dans le plus grand détail, en allant même chercher les épices de la région. Certains petits fruits utilisés étaient certifiés biologiques. Le café était équitable et biologique. Le thé était du thé du Labrador non cultivé et provenait de la région. Les crevettes utilisées sont issues d’une pêche certifiée Marine Steward Council (MSC).

La certification avec la norme québécoise des événements écoresponsables est en soit une initiative très novatrice sur la Côte-Nord. En effet, le Forum bioalimentaire de la Côte-Nord a été le premier événement avec une telle certification sur l’ensemble de la région.

De plus, peu d’occasions sont données aux producteurs locaux afin de faire découvrir leurs produits du terroir aux clients. Cette vitrine permet de vendre des produits avant la période des Fêtes pour faire des cadeaux locaux et originaux.

Très peu, et même très rarement, les repas lors d’événement sur la Côte-Nord sont préparés avec des produits régionaux. Le forum a permis de remplir cette mission. Et lorsqu’un produit n’était pas disponible dans la région, par exemple, les légumes pour l’accompagnement du repas principal car le forum se tient en novembre, les produits achetés provenaient du Québec et étaient de saison, soit des légumes racines tels que la betterave et le broco-fleur. Pour le vin d’honneur, du vin du Québec a été servi, avec un sirop de bleuet du Québec ainsi que des bleuets de la région. Ces actions sont encore une fois très novatrices pour la région, et nous avons été plus que choyés que le traiteur ait voulu suivre nos recommandations, car ce ne sont pas tous les traiteurs nord-côtiers qui font preuve d’ouverture à ces restrictions.

 
Prix transport et efficacité énergétique | présentés par l’Agence métropolitaine de transport
Le FestiVoix de Trois-Rivières

La mise en place d’un plan vert en 2007 a été le point de départ de l’engagement du FestiVoix dans le développement durable. L’ensemble de l’équipe s’est engagé avec passion dans le déploiement de plusieurs actions environnementales, économiques et sociales, telles que : la gratuité du transport en commun, le service de vélos-taxis, la capsule durable sur la WebTV et les prestations gratuites d’artistes dans plusieurs centres d’hébergement longue durée. Grâce à cet engagement vert, nous sommes fiers de dire qu’au fil des dernières années, nos festivaliers sont devenus de véritables éco-festivaliers!

Parmi les mesures en place :

  • Navettes de la STTR gratuites pour les automobilistes
  • Gratuité du transport en commun
  • Service de vélos-taxis
  • Site fermé aux automobilistes pendant 10 jours
  • Service de navettes électriques
  • Mise en place d’un parc à vélos
  • Diffusion d’un lien de réseau de covoiturage sur le Web
  • Mesures de sensibilisation visant la réduction des émissions de gaz à effet de serre des utilisateurs (page complète dans le dépliant)
  • Utilisation de voiturettes électriques
  • Partenaire de l’événement En ville sans ma voiture
  • Mise en oeuvre des mesures d’économie d’énergie
  • Entretien des quatre puits de carbones 1 140 arbres plantés dans les années antérieures

Parmi les impacts :

  • Augmentation des heures de service et du nombre de navettes de la STTR gratuites mises à la diposition des automobilistes lors de l’édition 2012
  • Hausse de la fréquentation gratuite des autobus empruntant le circuit régulier de la STTR par les détenteurs de passeports (fréquentation en hausse de 100%)
  • Augmentation de l’utilisation du service de navettes électriques entre les sites
  • Augmentation de l’utilisation de voiturettes électriques par l’équipe de permanence du festival et par l’équipe d’aménagement

Le FestiVoix de Trois-Rivières est un pionnier dans la région de la Mauricie en termes de développement durable. Depuis 2007, le FestiVoix a mis en place de nombreuses actions qui ont a tracé le chemin que plusieurs organisations de la Mauricie empruntent aujourd’hui. Chaque année, le festival met en place de nouvelles structures ou de nouveaux services, invitant les festivaliers à emprunter les services offerts afin de devenir des éco-festivaliers. L’organisation du festival a d’ailleurs intégré cette année un nouveau service de vélos-taxis qui a été très apprécié du public, assurant le transport entre le site de la scène Loto-Québec et le site de la scène Desjardins. Produite et réalisée par le FestiVoix en collaboration avec Cogeco, la minute durable est une nouvelle capsule Web ajoutée à la programmation régulière de la WebTV du FestiVoix. L’objectif premier de cette nouveauté étant d’inciter le public à devenir des éco-festivaliers à travers les actions durables mises en place par l’événement, elle a été diffusée sur les réseaux sociaux du FestiVoix et sur les ondes de Cogeco pendant le festival. Les festivaliers ont ainsi pu en apprendre davantage sur les pratiques environnementales du FestiVoix et y participer à leur tour, faisant du festival un événement responsable et durable.

Prix Engagement socio-économique
Sustainable tourism development, making it a reality in Eeyou Istchee de FaunENord

Sustainable tourism development, making it a reality in Eeyou Istchee

FaunENord a organisé une assemblée générale éco-responsable pour COTA (Cree Outfitting and tourism Association) à Whapmagoostui, une communauté crie accessible seulement par avion. Ce fut une première pour la Nation Crie du Nord-du-Québec! L’évènement s’est déroulé dans une salle isolée et sans service communautaire (pas d’électricité, d’aqueduc, de collecte des déchets ni de toilette) pour une quarantaine de personnes. Toutes actions s’est avérées être un défi : vaisselle, gestion des déchets, apport en eau, nourriture… Mais nous y sommes arrivés avec brio! Nous avons même ramené dans nos bagages, par avion, le recyclage à Wemindji, seule communauté crie de la région à avoir un service de recyclage!

Le tourisme est en plein développement dans le Nord-du-Québec et il nous offre de nombreux défis en ce qui attrait au développement durable. Les grandes distances séparant les communautés cries et jamesiennes les unes des autres (certaines communautés, tel que Whapmagoostui, sont accessibles seulement par avion)  représente un impact important pour l’environnement.
En plus, nous sommes limités en fournisseurs locaux, en lieux d’hébergement et en magasins pour l’achat local. Il faut aussi souligner que plusieurs communautés cries n’ont pas encore accès à des centres de tri pour le recyclage. C’est pourquoi Cree Outfitting and Tourism Association nous a demandé de travailler avec eux afin de faire de leur assemblée générale annuelle à Whapmagoostui un évènement éco-responsable.

Notre premier défi fut la gestion du transport, de l’approvisionnement en nourriture et en eau puisque la salle où se déroulait l’assemblée était isolée et ne possédait pas de services communautaires. Un système de navette fut instauré afin de voyager les participants entre les lieux d’hébergement et la salle. Pratiquement tous les participants ont utilisé ce système et ceux qui ne l’on pas utilisé ont marché de la communauté à la salle! Aucune bouteille d’eau ne fut utilisée ce qui a grandement diminué notre quantité de déchets produits. En plus, de la nourriture traditionnelle fut cuisinée par des « elders » qui étaient présents près du site. Ce qui nous a permis d’acheter local et de faire vivre la culture culinaire crie aux participants tout en stimulant l’économie locale.

La gestion des matières résiduelles fut un défi de taille puisqu’il n’y a pas de centre de tri à Whapmagoostui. Nous avons installé un îlot de tri et avons pris le temps de montrer aux participants comment trier leurs déchets et leurs restes de table. Le compost fut ensuite donné au centre d’Études Nordiques de l’université Laval qui possède une station de recherche à Whapmagoostui et qui produise leur compost pour leur serre de recherche.  Le recyclage quant à lui fut rapporté dans nos bagages, en avion, jusqu’à Wemindji, le site de tri le plus proche.

Comme cadeau de participation, chaque participant a reçu un sac de tissu contenant de la vaisselle en plastique réutilisable sur laquelle le logo de COTA était inscrit. Il est coutume chez les Cris, lors de rassemblements, que chacun amène et lave sa propre vaisselle. Ainsi, nous avons perpétué la tradition! À la fin de chaque repas chacun lavait et essuyait sa vaisselle et cette corvée c’est transformée en moments agréables et inoubliables qui nous a permis de ne pas utiliser de vaisselle jetable. Les personnes présentes à l’assemblée, provenant toutes du domaine touristique nordique, font énormément d’expéditions. Ils étaient heureux de nous dire que ce kit ferait désormais partie de leur inventaire d’expédition!

Finalement, puisqu’il n’était pas possible de faire une plantation d’arbre pour compenser nos émissions de gaz à effet de serre, dû au climat aride et au sol rocheux (Taïga), nous avons organisé, avec les participants et les membres de la communauté, une collecte de déchets.

Au niveau social, nous avons redonné à la communauté en organisant une collecte de déchets avec les participants et la population. Nous avons nettoyé deux sites communautaires à Whapmagoostui. En environ 2 heures, nous avons amassé un peu plus de 17 sacs d’ordures qui furent retirés de l’environnement et ce, avec l’aide d’une trentaine de personnes.  Il a fallut travailler fort afin de motiver les gens, mais cela nous a permis de les conscientiser à l’importance d’une bonne gestion des matières résiduelles. Il est aussi intéressant de souligner que tous les surplus de nourriture produits lors de l’évènement furent donnés à un organisme communautaire qui les a redistribués à la population. Plusieurs enfants, familles et aînés ont pu en profiter. Cette action nous a aussi permis de diminuer notre production de déchets tout en en faisant profiter la communauté.

L’Échofête de Mandaterre

L’équipe de l’Échofête, festival environnemental et culturel, de par ses nombreux choix écoresponsables et son engagement profond est un modèle depuis des années. Le festival se démarque notamment par son engagement social et ses nombreuses innovations en transport durable.

Notre programmation se caractérise par deux volets : l’environnement et le culturel. Tous deux sont d’une importance capitale pour nous. Du côté de l’environnement, il est question de conscientiser la population aux enjeux sociaux, environnementaux et politiques ayant des effets sur l’environnement local, régional et national par le biais d’ateliers, de conférences, de causeries, de l’implantation d’un système de transport actif, de codes d’éthiques responsables et d’animations engagées. Le tout est agrémenté de la célébration de la beauté de la nature par l’entremise d’excursions sportives et récréatives. Du côté de la culture (4e pilier du développement durable), il est question d’activités visant à promouvoir les artistes locaux, faciliter l’accès à la culture, à sensibiliser aux causes environnementales par le biais de représentation d’expressions artistiques (théâtre, danse, arts visuels et musique) ainsi qu’à favoriser la stimulation de création et d’apprentissages par le biais d’ateliers en arts. La plupart du temps, les deux volets s’entrecroisent et se nourrissent, les projets d’arts étant développés en fonction de respecter l’environnement et les activités environnementales ayant une finalité festive et culturelle pour ainsi mieux cadrer dans un festival.

Nous nous sommes donné une mission de sensibilisation auprès du public par des animations publiques orientées vers l’environnement, des spectacles jeunesse portant sur l’environnement, des exposants OBNL faisant valoir leur mission environnementale, des expositions en lien avec l’environnement et des  projections de films environnementaux.

Nous avons connu une hausse de l’achalandage : 11 800 festivaliers en 2012, alors que le nombre était estimé à 9000 en 2011. La plupart des établissements d’hébergement affichaient complet lors de la fin de semaine du festival. Le camping municipal affichait également complet et plusieurs commerces nous ont fait part de l’achalandage accru qu’ils avaient enregistré durant Échofête. Que l’on parle d’achat de bien ou de service, la région de Trois-Pistoles ressent l’effet notable du festival sur son économie. Que les participants soit à Trois-Pistoles pour une journée ou pour la durée totale du festival, les touristes découvrent ou redécouvrent la région et non seulement sont-ils satisfaits, mais se promettent d’y revenir.

Parmi les autres impacts majeurs : Plus de 160 bénévoles se sont impliqués pour faire de l’Échofête un succès.

Nous avons un grand soucis d’accessibilité et nous offrons  des tarifs et des gratuités permettant à toutes classes sociales de participer à notre événement.

Nous faisons la promotion des producteurs locaux par notre Marché Public (produits du terroir) .

Nous saluons aussi le volet Première Nation qui a su marquer son importance par la qualité de sa cérémonie sacrée.

Nous faisons la promotion de comportements santé (Ateliers de yoga, de tai chi, de mise en forme et de danse).

Notre engagement va jusqu’à rechercher des commanditaires ayant des valeurs propres à notre mandat.

La causerie avec écostage Katimavik et l’un des leaders de la CLASSE ont certes fait des vagues dans l’opinion publique (pour ce qui est de la présence de Gabriel Nadeau-Dubois) mais auront néanmoins résulté en une réussite en achalandage. De plus, cette heure de programmation acertainement joint la mission de l’organisme qui est de sensibiliser et de conscientiser la population aux enjeux sociaux et environnementaux que guette notre société actuelle.

Prix Lieu d’accueil | présenté par le Casino du Lac-Leamy
Société du Palais des congrès de Montréal

Encadré par sa politique environnementale et son plan d’action en DD, le Palais des congrès deMontréal a réduit son impact environnemental par des
actions directes sur son immeuble et sur son produit, comme le verdissement de ses toits, la tenue d’événements écoresponsables et son implication
communautaire et sociale.

L’engagement du Palais se concrétise de nombreuses façons, dont :

  • L’adoption de pratiques touchant à la réduction de la consommation d’eau, la gestion des matières résiduelles, l’éclairage (DEL) et à l’entretien des systèmes de chauffage et ventilation visant l’obtention de la certification LEED BE E&E et le maintien de la certification BOMA BESt.
  • La mise en œuvre d’un plan d’action ambitieux, en conformité avec la Loi québécoise sur le développement durable.
  • La poursuite du projet d’économie d’énergie (1,2 M$ investis), qui a permis une réduction de67% de la consommation de gaz naturel depuis 5 ans.
  • Le développement d’un programme d’événements écoresponsables comprenant des forfaits et services à la carte, permettant la classification selon la norme BNQ en gestion responsable des événements, en collaboration avec le Conseil québécois des événements écoresponsables.
  • La réalisation d’une vitrine internationale des meilleures pratiques en matière de toits verts grâce au projet Culti-Vert, un espace de 7 000 pi2 en toit vert et jardin potager en bacs contribuant à la réduction des îlots de chaleur au centre-ville.
  • La valorisation de la formation continue de l’équipe.
  • Le soutien à la communauté locale, entre autres par l’activité annuelle de bénévolat corporatif.
  • Le programme de bienveillance communautaire (Community Kindness) qui encourage les organisateurs d’événements et leurs délégués à remettre
    les objets promotionnels et le matériel de congrès inutilisés à des organismes de bienfaisance de la région de Montréal, dont la Fondation maman Dion, le Chaînon et l’Accueil Bonneau.
  • La mise en valeur du patrimoine culturel québécois par l’exposition d’œuvres.
Prix Fournisseur | remis par le Guideorganisateur.com
Crudessence

Crudessence est l’une des seules entreprises alimentaires (restaurants, service traiteur et académie culinaire) au Canada qui se dédie à avoir un impact sur la santé et la vitalité des individus et de la planète en servant une alimentation végétalienne, biologique et vivante et en offrant des cours éducatifs et culinaires reliés à ce type d’alimentation. Crudessence organise également des événements communautaires qui permettent à tous, à travers leur propre cheminement, de prendre en charge leurs responsabilités sociales et environnementales en tant que consommateur et citoyen. Nous sommes constamment en évolution afin d’offrir les lieux, les évènements, les approches et les produits les plus respectueux face à l’environnement et le corps humain.

Ce qui est au cœur même de notre offre est une alimentation végétalienne, biologique et, autant que possible, locale. Nous offrons également des cours
de cuisine pour que les gens puissent reproduire ce type d’alimentation et de comportement à la maison. Nous voulons également les encourager à acheter
des produits locaux et les encourager à faire pousser leurs propres légumes et germinations. De là provient toute notre raison d’être: encourager les
gens à mieux vivre grâce à leurs choix alimentaires et pouvoir les observer dans leurs interactions avec l’environnement, sous tous les aspects
de cette dernière. Nos employés et nos collaborateurs choisissent de partager ce même besoin de protéger la planète. De plus, notre choix de
fournisseurs, partenaires et sous-traitants se fait parmi le nombre de gens bienveillants dans les environs de Montréal.

Pour la collecte de compost, nous travaillons en étroite collaboration avec un fermier local. Lorsque nous louons le loft de Crudessence, les matières
compostables générées lors de ces événements sont transférées à la cuisine centrale (et donc au fermier local par la suite).

Nous encourageons le plus possible l’utilisation de vaisselles réutilisables, mais dans l’impossibilité de ce faire nous utilisons des emballages compostables.  Les milieux académiques ont les infrastructures (pour le compostage) en place et de plus en plus de villes au Québec auront également les infrastructures en place.

Nous offrons gratuitement les cours de cuisine Crudessence à tous nos employés.  Nos employés administratifs jouant un rôle majeur se prévalent
de formations qui développent leur capacité directionnelle collaborative. Une de ces formations est offerte par la compagnie Spiralis.

Nous contribuons à la réinsertion sociale en collaboration avec l’organisme Action main-d’œuvre.

Nous offrons des ateliers et des conférences communautaires pour les familles et dans les milieux hospitaliers. Selon la situation, nous les
offrons à taux préférentiel ou gratuitement.  Nous croyons que l’enseignement à une saine alimentation sert à résoudre nombre de problèmes de santé et de société.  En sensibilisant les gens à leur bien-être physique, plus d’outils seront mis à leur disposition afin qu’ils puissent jouir d’une meilleure santé et d’une meilleure conscience quant à l’origine de leurs aliments et conséquemment,  les rendre plus impliqués dans leurs communautés.

Nous proposons des aliments à 95% biologiques.
En été et à l’automne, 40% de nos produits proviennent de fermiers locaux, à 100 km ou moins de la cuisine centrale où ils sont cuisinés.

Prix du Public | présenté par Gaz Métro
Festival Western de St-Tite

Figure marquante du rodéo au Québec, attirant 155 fois la population de sa ville-hôte, principal moteur économique de Saint-Tite, Le Festival Western permet à une trentaine d’organismes de la région d’amasser près d’un demi-million de dollars. Notre objectif est d’instaurer le développement durable dans la culture de l’entreprise.

Dans le cadre de sa mission communautaire, le FestivalWestern de StTite collabore régulièrement avec plusieurs associations, consolidant ainsi des liens privilégiés. C’est une trentaine d’organismes que le Festival aide dans leurs sources de financements. Cette année, une nouveauté au Festival Western de StTite a été source supplémentaire de financement pour les organismes de la région. L’étoile de shérif mise en place pour la 45e édition se veut un symbole emblématique pour le Festival, tout en offrant la possibilité d’accéder à la majorité des chapiteaux présentant des spectacles. La vente d’étoile de shérif servira à maintenir la qualité de la programmation ainsi qu’éventuellement augmenter l’animation sur certains sites. C’est 0,50 $ par étoile vendue qui a été redistribué aux organismes de la région qui en ont fait la vente.

Le Festival Western de StTite croit en la relève et pose des actions concrètes afin d’encourager les jeunes talents que ce soit pour le rodéo, à l’école ou en culture. C’est entre autres le cas, avec les étudiants de 5e secondaire de l’école Paul-Le Jeune. Pour aider les étudiants, des moyens de financements ont été mis à leur portée. En effet, le stationnement de la navette était sous la responsabilité et la surveillance de ces étudiants ainsi que la récupération des canettes dans les Grandes Estrades Molson Export après chacun des onze rodéos où la capacité est de 7 500 spectateurs par représentation.

Consciencieux de réduire son empreinte écologique, le Festival Western de StTite a amorcé un important virage vert et, ainsi, fait du développement durable une de ses priorités. L’objectif de l’organisation est d’instaurer le développement durable dans la culture d’entreprise et de faire en sorte que les employés et l’ensemble des bénévoles l’incluent dans leurs prises de décisions et dans la gestion de leurs activités tant au niveau écologique, social qu’économique. En ce qui a trait à la portion environnementale, voir précision en annexe.

Notre évènement veut aussi encourager l’utilisation des transports de manière plus écoresponsable, pour ce faire, les festivaliers peuvent depuis la 44e édition utiliser un service de navette, situé à l’entrée de la ville, disponible pendant les deux fins de semaine de l’événement. Aussi, nous incitons les visiteurs de la région de Montréal à utiliser les deux trains en provenance de Montréal. Une campagne publicitaire a été déployée dans cette région afin de faire connaitre ce concept inusité qui se termine, en arrivant à Saint-Tite, par une attaque de train digne des plus grands films western. Nous avons aussi ajouté sur notre site internet ainsi que notre page Facebook des hyperliens et de l’information concernant le covoiturage.

Par l’implication directe ou indirecte du Festival, une trentaine d’associations du domaine social, de loisir et communautaire amassent près d’un demi-million de dollars pour leur fonctionnement. Ces organismes opèrent des concessions de nourriture et de breuvage, transforment des stationnements en terrain de camping, effectuent des tâches de nettoyage et de recyclage ou du soutien technique sur les sites du Festival.

Le Festival a appuyé la tenue de la journée Centraide western. C’est un montant de 46 569 $ qui a été partagé entre Centraide Mauricie et le Grand McDon.

Dans le cadre des festivités du 45e anniversaire, une activité spéciale a connu un beau succès, soit la mise à prix de la tête du directeur général et de celle du directeur des rodéos du Festivalau profit de Leucan.  Les 2 hommes ont relevé le défi de se faire raser les cheveux pour la bonne cause. Un montant total de 8 500 $ a été amassé dans les estrades et par des dons en ligne a été remis à Leucan Mauricie.

Le Festival joue un rôle prédominant dans l’échiquier économique de la région. La tenue a contribué à des retombées économiques de l’ordre de 50 551 000 $, ce qui équivaut à 756 emplois à temps plein. L’organisation se fait un devoir de privilégier les achats locaux.

Le grand Vivat remis par Loto-Québec
Festival International de Jazz de Montréal

Depuis ses débuts, le Festival démontre un profond respect des valeurs sociales et environnementales. Pionnier des actions écologiques en événementiel, il effectue, depuis plus de 20 ans, la récupération des matières résiduelles et a été l’un des premiers événements nord-américains d’envergure à être carboneutre, devenant une référence en matière de développement durable !

Parmi les mesures – engagement socio-économique :

  • Embauche de dizaines de raccrocheurs et de stagiaires, par Société développement social Ville-Marie. Les premiers sont affectés à l’entretien ménager et aux opérations. Provenant de Jeun’Est, les seconds vivent une expérience en technique de scène et production de spectacles ;
  • Personnes à mobilité réduite : prêt de chaises roulantes, zone réservée près de la scène principale, service d’accueil, suivi, transmission de plans par Internet ;
  • Planches à roulettes oubliées sur le site données à RecySkate, qui les récupère et distribue aux jeunes défavorisés ;
  • Don à la Maison du Père des objets trouvés non réclamés et de la nourriture non consommée préparée par le service alimentaire ;
  • Lunettes pour la vue non réclamées remises à un optométriste qui les réachemine en Haïti ;
  • Camp de blues : créé pour les musiciens d’ici, âgés de 13 à 17 ans, ce camp d’une semaine offre gratuitement une formation musicale de qualité, contournant la barrière des classes sociales pour ouvrir ses portes à tous.
  • L’aboutissement de ce stage : une prestation devant public au Festival !
  • JazzFest : permet à des musiciens d’institutions scolaires (secondaire à université) ou groupes communautaires amateurs de se produire au Festival. Ils doivent s’inscrire à Jazzde l’année tenu par JazzFest des jeunes du Québec, organisme permettant aux jeunes de vivre une expérience de scène et offrant des ateliers animés par des professionnels ;
  • Samajam : présentation d’un spectacle musical collectif créé dans le cadre du projet Persévérance scolaire Samajam, offrant gratuitement aux écoles un programme de formation en percussions, danse, musique et mise en scène ;
  • Présentation de la série Les envolées du Festival, consacrée aux étudiants universitaire ;
  • Le FIJM favorise le rayonnement du patrimoine musical en offrant des bourses et prix  : Grand Prix de Jazz TD : offert en soutien à la relève jazz canadienne. L’artiste primé remporte un trophée et une bourse de 5 000 $ et est invité au Festival l’année suivante. Il gagne aussi une participation aux Festi Jazz international de Rimouski et FestivalInternational de Jazz y Blues Zacatecas (Mexique), des heures d’enregistrement et une licence pour la fabrication et la distribution d’un album ;
  • Bourses du FIJM : en reconnaissance de l’excellence d’étudiants en jazz dans les universités montréalaises ;
  • Main-d’œuvre locale : embauche de personnel qualifié de Montréal, sans recours au bénévolat ;
  • Priorité aux fournisseurs locaux, en matière technique et alimentaire ;
  • 90 à 95 % des aliments vendus sont achetés à moins de 40 km de leur emplacement de distribution ;
  • Priorité à l’achat local pour les produits dérivés et à l’utilisation de matières écologiques, recyclables, durables ou biodégradables (64 % des achats reliés aux produits dérivés auprès de distributeurs ou manufacturiers locaux) ;
  • 84 % des achats de vêtements auprès de distributeurs ou manufacturiers locaux ;
  • 94 % des vêtements imprimés ou brodés localement ;
  • Sacs et accessoires à l’effigie du FIJM fabriqués de bannières publicitaires recyclées et offre de sacs écolos longue durée 100 % recyclables, vêtements écologiques (coton, teinture) et bouteilles d’eau réutilisables.

Pour le Grand Vivat :

  • Réduction à la source de toutes les matières utilisées.
  • Gestion serrée de la distribution des programmes.
  • Mise en place de stations de remplissage de bouteilles d’eau pour favoriser l’utilisation de contenants à usage multiple et don de bouteilles réutilisables par Naya aux employés.
  • Utilisation de contenants d’eau de 18 litres pour réduire la consommation de bouteilles d’eau individuelles et réutilisation de ces contenants en les remplissant sur place grâce à des filtres à eau sur les robinets.
  • Plus de 150 bacs de récupération sur le site de l’événement, ainsi qu’un bac par employé dans les bureaux.
  • Utilisation des plastiques nos 1 et 5 (plus facilement récupérables) depuis 2008, pour les verres des concessions alimentaires.
  • Récupération du bois (retourné à l’entrepôt).
  • Impression du programme sur du papier 100 % recyclé.
  • Affiches incitant au recyclage sur les lieux de l’événement.
  • Production de compost et utilisation de serviettes, verres et assiettes biodégradables en fécule de maïs par les concessions alimentaires.
  • Présence d’une Écho’Scouade pour conscientiser les festivaliers, commerçants et promoteurs aux comportements écoresponsables.
  • 70 préposés à l’entretien assurent la cueillette des matières.
  • Mise en ligne en 2012 d’un onglet sur la démarche de développement durable sur le site internet.
  • Comptabilisation des taux de récupération depuis 2002 et diffusion des pourcentages moyens sur le site internet.
  • De 90 à 95 % des aliments vendus sur le site sont achetés à moins de 40 km de leur emplacement de distribution.
  • Don à la Maison du Père de la nourriture non consommée préparée par le service alimentaire.
  • Pendant l’événement, le périmètre du Festival est carboneutre. Rio Tinto Alcan finance l’achat de crédits compensatoires pour permettre au Festival de neutraliser ses émissions de CO2, générées par la totalité des opérations.
  • Développé par le Festival avec le FAQDD et Planetair, l’outil de calcul des émissions de C02 est disponible gratuitement à tout événement désireux d’améliorer son dossier vert.
  • Utilisation exclusive de l’énergie hydroélectrique, pour tous les besoins en aménagement. Seules les génératrices d’urgence fonctionnent à l’essence.
  • Réduction de l’éclairage de nuit et de jour pour minimiser la consommation électrique.
  • Installation de supports à bicyclettes, dans une aire fermée et surveillée.
  • L’événement se déroule près de 2 métros et plusieurs lignes d’autobus.
  • Embauche de dizaines de raccrocheurs et stagiaires via la Société de développement social de Ville-Marie. Les premiers sont affectés à l’entretien et aux opérations. Provenant de Jeun’Est, les seconds vivent une expérience concrète en technique de scène et production de spectacles.
  • Personnes à mobilité réduite : prêt de chaises roulantes, zone réservée près de la scène principale, service d’accueil, suivi…
  • Les planches à roulettes oubliées qui n’ont pu être rendues à leurs propriétaires sont données à RecySkate, organisme récupérant les skateboards et les distribuant aux jeunes défavorisés.
  • Camp de blues d’une semaine gratuit pour musiciens de 13 à 17 ans.
  • Main-d’œuvre locale : Embauche de personnel qualifié de Montréal, sans recours au bénévolat.
  • Priorité aux fournisseurs locaux, en matière technique ou alimentaire.
  • 64 % des achats de produits dérivés sont faits auprès de distributeurs ou manufacturiers locaux.
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Marie-Ève Lachance-Foisy
Conseillère en transition socioécologique

Conseil québécois des événements écoresponsables

Biographie

Son parcours a commencé avec l’obtention d’un baccalauréat en études de l’environnement, une étape qui lui a permis de saisir l’ampleur des enjeux environnementaux et sociaux ainsi que l’importance cruciale d’agir concrètement. En poursuivant des études de deuxième cycle en gestion du développement durable, elle a acquis les compétences nécessaires pour se consacrer pleinement à sa passion qu’elle pratique depuis maintenant 3 ans : aider et soutenir les organisations dans leur démarche d’amélioration de leurs pratiques écoresponsables.

Marie-Ève est reconnue pour son dynamisme et son enthousiasme communicatif, qualités qui enrichissent son engagement et son efficacité dans ce domaine. Elle se distingue par sa capacité à mobiliser les équipes et à transformer les défis en opportunités pour un avenir plus durable.

Thomas Gregoire
Directeur général et artistique

FestiVoix de Trois-Rivières

Sujets d’intérêt
Politique et pratiques de développement durable dans un contexte de festival.

Biographie
Thomas Grégoire, est directeur général et artistique du Festivoix de Trois-Rivières depuis novembre 2014 et œuvre dans le domaine de l’événementiel depuis une quinzaine d’années. Auparavant, il était directeur général adjoint de cette organisation où il était chargé principalement du marketing, des communications et des partenariats tout en poursuivant des activités de consultant en gestion de projet et en marketing avec le studio de communication Créations Cynic. En complément de ses fonctions au FestiVoix, Thomas Grégoire siège sur différents conseils d’administration au nveau régional et provincial notamment celui d’Événements attractions Québec et du REMI (Regroupement des événements majeurs internationaux).

Isabelle Kaliaguine
Designer et fondatrice

Kaliaguine inc. et hop!

Sujets d’intérêt
Accompagnement écoresponsable pour impression, signalisation et solutions d’aménagement d’événements
Accompagnement pour solutions de valorisation – Éconception

Biographie
Isabelle Kaliaguine est une designer d’événement de plus de 20 ans d’expérience; impliquée dans des événements de grande envergure. Depuis plusieurs années, elle s’implique activement pour le développement et la mise en application de solutions écoresponsables, et collabore depuis 2015 avec le Conseil québécois des événements écoresponsables par des formations et du mentorat. Dans la dernière année, Isabelle a fondé hop! une entreprise qui donne une 2e vie aux bannières événementielles et autres matériaux imprimés en grands formats et les transformant en items utiles à l’aménagement d’événements et en produits dérivés.

Karelle Trottier
Chargée de projet – Événements écoresponsables et santé environnementale

CQEER

Sujets d’intérêt
Gestion des matières résiduelles, calcul des GES, santé environnementale, sélection des fournisseurs, événements écoresponsables, événements sportifs.

Biographie
Karelle a étudié en environnement à l’UQAM au baccalauréat en sciences naturelles appliquées à l’environnement et à la maîtrise en sciences de l’environnement en recherche. Axée sur l’interdisciplinarité, elle s’intéresse à plusieurs domaines incluant la gestion des matières résiduelles, la santé, la lutte aux changements climatiques et la protection des milieux naturels. Elle travaille maintenant comme chargée de projet au Conseil québécois des événements écoresponsables où elle accompagne tous types d’événements, mais principalement des événements sportifs, comme l’Omnium Banque Nationale, les Régates de Valleyfield, les courses CRYO et divers événements organisés par Vélo-Québec. Elle a eu la chance de travailler aussi avec de gros événements corporatifs, comme Sommet Climat Montréal et la COP 15 et avec le Ministère des relations internationales et de la francophonie.
Karelle aime s’informer sur tous les sujets qui touchent l’environnement, elle pourra donc vous aider en envoyant des références à lire pour aller plus loin sur le sujet. Elle aime particulièrement le plein air, ce qui l’amène à s’intéresser beaucoup aux 7 principes Sans Trace et à l’impact des événements sur la faune et la flore, mais aussi sur la santé humaine.

Sophie-Laurence H. Lauzon, M. Env.
Conseillère en développement durable

Conseil québécois des événements écoresponsables

Sujets d’intérêt
Événements écoresponsables, développement durable, gestion des matières résiduelles, approvisionnement responsable, développement de politiques d’événements écoresponsables et d’outils pour assurer la mise en œuvre de l’écoresponsabilité.

Biographie
Conseillère en développement durable, Sophie-Laurence accompagne différentes organisations dans leur démarche d’écoresponsabilité. Diplômée du baccalauréat en études de l’environnement et de la maîtrise en gestion de l’environnement de l’Université de Sherbrooke, elle a développé de fortes compétences en gestion des matières résiduelles, approvisionnement responsable et mise en œuvre de démarches de développement durable notamment en événementiel. Ayant mené une étude statistique sur l’événementiel écoresponsable en 2020 et ayant développé un guide sur la gestion écoresponsable et sanitaire des événements en 2021, elle connaît bien les tendances écoresponsables et les réalités du secteur événementiel québécois. Sophie-Laurence accompagne de nombreux organisateurs d’événements culturels, corporatifs et gourmands à entreprendre un virage vert, approfondir leur démarche d’écoresponsabilité ou classifier leur événement selon la norme BNQ 9700-253.  Reconnue pour son souci du détail et sa nature passionnée, Sophie-Laurence est déterminée à soutenir les organisations à prendre un virage qui soit en cohérence avec les défis environnementaux actuels.

Dominic Laperrière-Marchessault
Agente de projets, promotions & événements spéciaux

Espace pour la vie (Ville de Montréal)

Sujets d’intérêt
Événements écoresponsables, lieux d’accueil écoresponsables, développement de politiques d’événements écoresponsables et d’outils pour accompagner les organisateurs d’événements, accueil de tournages écoresponsables.

Biographie
Dominic travaille à la location des salles des musées d’Espace pour la vie (Biodôme, Biosphère, Jardin botanique, Insectarium et Planétarium Rio Tinto Alcan) depuis cinq ans. À titre d’agente de projets, elle coordonne l’accueil d’environ 80 événements corporatifs et tournages par année. En 2021, elle est devenue la première candidate à obtenir l’attestation du programme de formation appliqué en événementiel responsable du CQEER  et elle a entamé un certificat en Développement durable à l’Université Laval. Ses formations lui ont permis de développer une politique de gestion responsable d’événements ainsi que divers outils pour accompagner les locataires de salles dans l’atteinte de leurs objectifs.

Pablo Maneyrol
Directeur Affaires institutionnelles

TOHU

Sujets d’intérêt
Implantation d’une démarche de développement durable en entreprise. Indicateurs et reddition de compte. Salles de spectacle écoresponsables. Partenariats et maillages intersectoriels.

Biographie
Possédant une quinzaine d’années d’expérience professionnelle dans le secteur culturel (et particulièrement des arts vivants), Pablo Maneyrol est actuellement Directeur Affaires institutionnelles pour la TOHU, une salle pionnière en développement durable par la culture. Avec cet organisme reconnu pour ses pratiques innovantes en environnement et développement communautaire, il retrouve ses premières amours puisque sa carrière avait débuté dans la RSE.
Ses champs de compétence incluent les relations gouvernementales, la planification stratégique, l’implantation de plans d’action et indicateurs, et la coordination de projets en développement durable.
Il siège aux C.A. de Culture Montréal et du CESIM, et il copréside la commission permanente Culture et transition écologique de Culture Montréal.

Hélèna Gervais
Agente de développement industriel

RECYC-QUÉBEC

Sujets d’intérêt
Gestion des matière résiduelles, retrait des bouteilles d’eau à usage unique, escouade verte ainsi que gestion des matières compostables et commerces.

Biographie
Titulaire d’un baccalauréat en communications – relations humaines, profil international de l’UQAM ainsi que d’une maîtrise en environnement de l’Université de Sherbrooke, Hélène Gervais œuvre au sein de la société d’État RECYC-QUÉBEC depuis 2006, à titre d’agente de développement industriel. Son expertise en économie circulaire, combinée à ses connaissances en gestion des matières résiduelles, ont été mises à profit sur divers dossiers dont l’organisation des deux éditions des Assises québécoises de l’économie circulaire, la réduction à la source des matières résiduelles, la réparation et l’obsolescence, le recyclage des plastiques ainsi que la collecte sélective des matières recyclables. Depuis 2018, Hélène est également chargée de cours en économie circulaire à l’Université de Sherbrooke. En 2016, elle a œuvré à titre de chargée de projets à l’Institut de l’environnement, du développement durable et de l’économie circulaire où elle a coordonné un important projet de recherche portant sur l’économie circulaire et les métaux, pour le compte du ministère de l’Énergie et des Ressources naturelles du Québec. Elle s’implique aussi sur des conseils d’administration d’organismes liés à l’éducation relative à l’environnement.

Patrick Kearney
Directeur général du Festival Santa Teresa – Président du REFRAIN

 

Sujets d’intérêt
Gestion des matière résiduelles, retrait des bouteilles d’eau à usage unique, escouade verte ainsi que gestion des matières compostables et commerces.

Biographie
Directeur général du Festival Santa Teresa et président du REFRAIN, Patrick Kearney a mis en place pour son festival un projet écoresponsable (Vert Teresa) qui a permis au festival de mériter le Prix Vivats RECYC-QUÉBEC | Gestion responsable des matières résiduelles en 2019. Patrick est détenteur d’une maîtrise en gestion et développement des organisations. 

Isabelle Moïse
Directrice des opérations, Dossiers et développement stratégiques

RECYC-QUÉBEC

Sujets d’intérêt
Événements écoresponsables, lieux d’accueil écoresponsables, développement de politiques d’événements écoresponsables, certification BNQ (9700-253). Outils, bonnes pratiques d’ici et d’ailleurs, gestion des GES et approvisionnement responsable pour les organisateurs d’événements internationaux.

Biographie
Titulaire d’un B.A.A. en Marketing et Management de HEC Montréal, Isabelle Moïse cumule 20 ans d’expérience en gestion d’événements corporatifs et de portée internationale. Ayant travaillé autant en agence que comme consultante, Isabelle a réalisé plus de 200 événements au cours de sa carrière : congrès, colloques, expositions et galas. Tout au long de son parcours, elle a accompagné plusieurs organisations dans leur transition vers des événements durables et écoresponsables notamment en les guidant pour l’obtention de la certification BNQ en gestion responsable d’événements (9700-253). Ses compétences reconnues en communication, en opération et développement stratégiques l’ont amenée à rejoindre les rangs de RECYC-QUÉBEC en 2020 comme directrice des opérations pour les dossiers et le développement stratégiques. Elle a notamment sous sa direction l’organisation des Assises de l’économie circulaire qui se tiennent aux deux ans.

Maëlle Minier
Chargée de projets en événements écoresponsables

Maëlle a toujours eu un intérêt pour l’accompagnement à la transition, diplômée d’un baccalauréat en études internationales, elle voulait initialement faire carrière dans l’humanitaire et la stabilisation politique des états. La question environnementale l’a pourtant rattrapée et lui a donné envie de s’investir professionnellement dans l’amélioration de nos espaces de vie. Après un an au service d’une association de sensibilisation et d’accompagnement à la transition écologique en France, elle a choisi de revenir à Montréal pour compléter son cursus en environnement et développement durable à l’UdeM. Différentes expériences, en gestion de brigade verte sur des festivals notamment, lui ont donné envie de contribuer à la mobilisation, tant pour la santé humaine que celle des écosystèmes et des générations futures.

 

Caroline Larocque
Chargée de projets en développement durable et communications

Caroline a fait des études de deuxième cycle en développement durable à l’Université de Sherbrooke et détient un brevet d’enseignement, ainsi qu’une expérience en gestion d’entreprise et en marketing. Elle s’intéresse au rôle et à l’impact positif que peuvent avoir les organisations sur l’environnement, ainsi qu’aux enjeux liés au marketing responsable et à la communication des actions écoresponsables entreprises par les organisateur·trices d’événements.

Camille Guédon
Chargée de projets en arts vivants et tournages écoresponsables

Très intéressée par les enjeux environnementaux et leur application dans le milieu des arts et de la culture, Camille Guédon détient un baccalauréat en communications de l’Université de Sherbrooke et une maîtrise en gestion du tourisme de l’Université du Québec à Montréal. Alors qu’elle travaillait comme gestionnaire de la programmation au 375e anniversaire de Montréal, elle a également étudié à HEC Montréal au DESS en gestion des organismes culturels. Camille a aussi travaillé comme coordonnatrice auprès de plusieurs organismes publics tels que Tourisme Montréal et la Ville de Montréal.

Aurélie Jeanroy
Chargée de projets en arts vivants et événements écoresponsables

Engagée depuis ses études de maîtrise en management environnemental à La Rochelle en France, Aurélie a toujours voulu avoir un rôle dans la lutte contre les changements climatiques. Elle s’est mobilisée dans plusieurs associations étudiantes, et plus tard dans une association de sensibilisation à la gestion durable des matières résiduelles dans des festivals et manifestations culturelles, à Paris. Aurélie aime la musique et la culture, et pense qu’il est aujourd’hui nécessaire de produire et de réaliser des projets culturels de manière durable.

Garance François
Chargée de projets en arts vivants

Diplômée d’une maîtrise en environnement de l’Université de Sherbrooke, Garance souhaite conjuguer son engagement pour l’environnement avec sa passion des différentes formes d’arts. À travers divers projets universitaires, elle s’intéresse de plus en plus à la mise en œuvre de démarche environnementale dans les contextes événementiels et culturels. Son essai sur l’économie circulaire appliquée dans les festivals de musiques témoigne de son engagement à fusionner ces deux domaines. Elle est désormais déterminée à accompagner les organisations culturelles dans leur démarche écoresponsable. Garance a rejoint l’équipe dans le cadre d’un remplacement de congé parental.

Lize Bizzoni
Directrice général adjointe
Lise Bizzoni a plus de 19 ans d’expérience en coordination et gestion de projets dans le milieu universitaire. Grâce à sa formation universitaire et à son expérience en administration de la recherche et de la culture, elle a développé une solide connaissance de la gestion opérationnelle d’une organisation et du travail multisectoriel. Elle a d’ailleurs été récipiendaire du 3e Prix d’excellence des professionnel·les de recherche décerné par les Fonds de recherche du Québec en 2018. Très à l’aise au sein d’une équipe, elle a à cœur de construire des relations harmonieuses dans ses équipes de travail, fondées sur le respect, la collaboration et la reconnaissance des forces de chacune. Son action bénévole se concentre au sein d’une association 2SLGBTQIA+ et elle réserve le reste de son temps libre à son potager.