Félicitations aux lauréats 2016 !

Cliquez sur les noms des organisations ci-bas pour lire leur résumé des actions entreprises.

Prix Matières résiduelles | remis par Recyc-Québec
Fête des neiges de Magog

Fête des neiges 2015 – Magog : Avec une proportion de seulement 4% pour les déchets, les résultats sont très encourageants et démontrent l’efficacité des mesures de valorisation en place. L’implication des partenaires afin de réduire les déchets ultimes a grandement contribué à l’atteinte des objectifs.

Objectifs avant l’événement :

  • Valorisation de 75% des matières résiduelles générées sur le site;
  • Objectif de 25g de déchets /personne
  • Effectuer une caractérisation des déchets afin de comparer et d’améliorer les performances d’année en année.

Actions :

  • Utilisation de vaisselle biodégradable
  • Utilisation de gourdes réutilisables au lieu de verre en papier (pour bénévoles)
  • Installation de commodités pour pallier à l’achat de bouteilles d’eau (fontaines, pichets, etc.)
  • Utilisation d’ustensiles biodégradables au lieu d’ustensiles en plastique
  • Réemploi de sapins de Noël pour la décoration du site (écocentre)
  • Réemploi des bannières en tissus
  • Réemploi des uniformes et des manteaux des bénévoles
  • Réemploi des décors (Structure de métal, bonshommes de neige, etc.)
  • Redistribution de la nourriture inutilisée aux bénévoles
  • Réemploi des panneaux publicitaires coroplastes
  • Installation d’îlots de tri à 3 voies
  • Utilisation des «écolotops»
    Transport des résidus de bois, métaux et autres à l’écocentre
  • Réunion d’information avec les bénévoles sur la gestion des matières résiduelles sur le site
  • Mise en place d’affiches pour la clientèle et les bénévoles sur la gestion des matières résiduelles
  • Sensibilisation des fournisseurs quant à la réduction de leurs matières résiduelles

Résultats :

  • L’objectif est atteint avec un taux de valorisation global de 96,3% (87% en 2014)
  • Le taux de valorisation pour les matières organiques est de 75,76% et de 20,54% pour les matières recyclables. (Respectivement de 63% et 24% en 2014) On remarque ainsi une amélioration notable de la matière organique valorisée et une légère diminution du recyclage par l’augmentation de la vaisselle compostable)
  • Considérant une assistance d’environ 15 000 personnes (Duchesne, 2015), l’objectif de 25g de déchets par personne est hautement atteint par un résultat de 0,05g/personne.
  • Avec une proportion de seulement 4% pour les déchets, les résultats sont très encourageants et démontrent l’efficacité des mesures de valorisation en place. L’implication des partenaires afin de réduire les déchets ultimes a grandement contribué à l’atteinte des objectifs.
Prix Transport et efficacité énergétique | remis par Téo Taxi
FestiVoix de Trois-Rivières

Depuis 2007, le FestiVoix s’est engagé dans le développement durable avec ses équipes, ses bénévoles, ses partenaires et surtout ses festivaliers devenus avec les années de véritables éco-festivaliers. Au FestiVoix, le développement durable est une véritable philosophie avec des actions vertes, sociales et économiques marquées par l’innovation et la concertation.

Le FestiVoix est un pionnier dans la région de la Mauricie en termes de développement durable. Chaque année, le festival met en place de nouvelles structures et de nouveaux services prometteurs pour s’adresser et sensibiliser directement le public afin qu’ils deviennent des éco-festivaliers.

Plusieurs mesures ont été mises en place pour l’événement, dont celles-ci en transport et efficacité énergétique :

  • L’organisation a renouvelé et développé son partenariat avec la Société de Transport de Trois-Rivières (STTR) afin d’offrir aux festivaliers, bénévoles et partenaires des services de transports en commun à faible coût.
  • Un service de 8 vélos-taxis gratuit et de 5 navettes électriques gratuites pour transporter les festivaliers entre les sites
  • Site piétonnier au centre-ville complètement fermé aux automobilistes pendant 9 jours
  • Fermeture de rues aux automobilistes au centre-ville de Trois-Rivières
  • Utilisation de 12 voiturettes électriques par les équipes de permanence et d’aménagement pendant la durée de l’événement.
  • Parc à vélos disponible gratuitement pour tous les cyclistes.
  • Promotion du covoiturage sur les plateformes numériques du festival.
  • Mise en œuvre des mesures d’économie d’énergie (tel que privilégier l’éclairage de sites de type DEL).

Le FestiVoix est engagé dans le développement durable depuis plusieurs années et en évaluant les impacts des mesures année après année on ne peut que se réjouir du degré d’implication des festivaliers qui progresse. Pour accompagner chaque nouvelle mesure, il est indispensable de bien sensibiliser et informer le public pour obtenir les résultats souhaités. Voilà pourquoi l’événement est passé de 6 à 27 bénévoles en 2015 faisant partie de notre escouade verte afin de sensibiliser et informer les festivaliers sur les mesures écoresponsables.

La principale difficulté n’est pas de convaincre le public du bien-fondé de ces mesures, mais plutôt de les convaincre de se mettre en action pour faire du FestiVoix un éco-festival. À cet effet, l’organisation met en place toute une campagne de promotion, et ce, plusieurs mois avant le début du festival. Des stratégies de communication ont été mises en place, afin de créer des messages adaptés. Un des éléments de succès est d’offrir des actions de développement durable qui ne soient pas une contrainte pour le festivalier, mais plutôt un service positif. Par exemple, l’offre variée en transport durable a permis d’apporter un avantage aux festivaliers tellement important qu’utiliser leur voiture ne devient plus un bénéfice pour eux. La partie n’est pas gagnée, et ce même si de nombreuses actions concrètes ont été posées et ont engendré des résultats positifs. En développant diverses actions, un cercle vertueux s‘est enclenché et a motivé les partenaires à embarquer dans le développement durable. Aujourd’hui, c’est l’ensemble des individus et des partenaires de l’événement qui sont impliqués dans un FestiVoix durable.

Prix Fournisseur | remis par le Guideorganisateur.com
Compost Montréal

Compost Montréal offre un service de collecte de matières organiques aux habitants et entreprises Montréalais aidant à réduire leur impact environnemental. Nous fournissons les outils pour composter et nous promouvons les bénéfices de la valorisation de la matière organique. Nous redonnons gratuitement un compost de haute qualité à nos abonnés. Nos services incluent des formations, conférences et recherche scientifique.

Notre raison d’être est d’aider les résidents et organisations à réduire l’impact négatif de leurs matières résiduelles. Nous tâchons d’être aussi responsables que possible sur les plans environnemental et social, par exemple par l’achat responsable, l’utilisation de sources d’énergie renouvelables, et le soutien des organismes de charité.

Nous encourageons la gestion responsable des matières résiduelles, et surtout le compostage sous toutes ses formes, par le biais de l’éducation – Compost Montréal propose des ateliers, formations et conférences dans le but de transmettre son expertise. Par exemple, pour célébrer 2015 en tant qu’Année internationale des sols, en janvier 2015 nous avons organisé une soirée de lancement avec six individus qui travaillent avec le sol de différentes manières (comme entrepreneur, artiste, militant, scientifique, autochtone, etc). Sol: Source de vie a attiré un auditoire de 250 personnes pour réflechir sur cet enjeu important.

Pour nous le compost est la priorité numéro un. Le fait que de plus en plus d’entreprises, commerces et institutions fassent appel à nos services est un bon signe que la communauté montréalaise est de plus en plus sensibilisée à une valorisation durable des déchets, et qu’elle se donne les moyens d’agir.

Nous avons été contactés par des personnes qui souhaitaient initier des projets similaires au nôtre dans leurs pays (Côte d’Ivoire, Bénin, Nigeria), et nous avons été en mesure de les aider et de les conseiller afin qu’ils puissent commencer leur projets sereinement.

Nous comptons continuer à grandir et évoluer particulièrement au niveau de l’éducation. Nous aimerions vraiment développer cet aspect de notre entreprise, par exemple en augmentant nos partenariats avec les institutions d’enseignement (UdeM, McGill, Concordia, UQÀM et plusieurs collèges et cégeps).

Nous souhaitons à moyen terme développer notre propre site de compostage, pour être capables d’agir à toutes les étapes de la transformation de la matière organique.

Nous avons aussi investi dans le développement de la collecte et du filtrage de l’huile usée des restaurants et cafétérias et dans la modification nécessaire pour faire rouler plusieurs des véhicules de notre flotte de camions sur ce carburant, qui est renouvelable et moins polluant que le diesel.

Aussi en 2015, nous avons participé comme équipe à un tournoi de volleyball pour lever des fonds pour À Deux Mains, une organisation d’éducation et d’engagement pour des jeunes de Montréal. Notre équipe des employés et amis ont levé presque mille dollars pour cette cause importante.

Finalement, nous avons une politique d’acheter les fournitures de bureau et équipements les plus écologiques possible, par exemple le papier certifié 100% recyclé et des equipements usagés.

Prix Lieu d’accueil | remis par la Société du 375e anniversaire de Montréal
Salle Le Parquet

Le Parquet, vaste espace lumineux, s’avère un lieu de rassemblement exceptionnel. Cette année, Le Parquet a offert un cadeau précieux à ses clients : une brigade verte qui permet de détourner un maximum de matières vers les filières du compostage et du recyclage. Avec ses certifications BOMA BESt niveau 4 et LEED niveau or, c’est LE lieu écoresponsable pour tenir vos événements.

La nouveauté 2015 est l’embauche d’une brigade verte qualifiée pour plusieurs événements majeurs. Nous embauchons une brigade verte qui est sur place avant le début de l’événement, qui positionne les bacs de récupération des différentes matières en collaboration avec l’équipe de traiteur et de service. Toutes les personnes affectées au service reçoivent une formation express sur les matières à récupérer et nos attentes face à eux. La réponse est extrêmement positive!

Nous faisons une certaine caractérisation des déchets, nous trions les déchets qui pourraient être mal disposés et nous faisons une pesée des déchets à la toute fin de l’événement. Un bilan est produit pour chaque événement et un bilan global périodique aussi. Ces bilans permettent aux promoteurs d’événements d’identifier leurs pistes d’amélioration et le bilan global permet au Centre CDP Capital propriétaire de la salle Le Parquet de viser une amélioration continue.

En choisissant de faire un événement chez nous plutôt qu’ailleurs les promoteurs se garantissent une meilleure empreinte environnementale et sociale qu’ailleurs, pour des salles de capacités comparables.

Prix Alimentation | remis par Aliments du Québec
Cocktail-bénéfice Équiterre

Le cocktail-bénéfice de Montréal d’Équiterre a lieu depuis maintenant 9 ans et rassemble plus de 350 invités chaque année. À chacune de nos éditions, nous nous efforçons d’en faire plus pour faire de notre événement, un événement écoresponsable. Au cours des années, nous avons majoritairement travaillé avec Vincent Lafleur traiteur. De par son ouverture au changement et aux défis qui se présentaient, il nous permet aujourd’hui d‘être fiers de notre accomplissement. En 2015, notre traiteur a travaillé de concert avec un fermier de famille d’Équiterre : Robin Fortin. Nous avons ainsi offert à nos convives un menu à 93 % local, plus de 80 % de bouchées végétariennes, aucune viande rouge n’a été utilisée et il n’y a eu aucun gaspillage! Enfin, le fait d’opter pour la formule « cocktail dinatoire » plutôt que réception nous a permis de servir des bouchées et d’éliminer l’utilisation de la vaisselle.

En plus de compenser nos GES via Planetair, notre cocktail-bénéfice ne comportait aucun gaspillage de denrées alimentaires, ce qui réduit directement les impacts sur l’environnement, en particulier la surconsommation de ressources. De plus, en collaborant avec l’un des fermiers de famille d’Équiterre, nous encourageons la consommation de fruits et légumes biologiques et locaux et surtout les agriculteurs du Québec, tout en réduisant les distances parcourues par nos aliments, donc les émissions de GES liées à leur transport. Cette façon de faire est tout de même peu commune dans l’organisation d’événements. Ceci amène nos fournisseurs à relever de nouveaux défis et les sensibilise aux changements climatiques et aux bienfaits de l’approvisionnement local. Sachant que tout est possible, nos fournisseurs peuvent ensuite reproduire le même scénario dans d’autres événements et ainsi amener plus d’organisateurs à adapter leur menu! Enfin, notre cocktail réunit des gens du milieu des affaires et nous profitons également de cette soirée pour les sensibiliser. La quantité de nourriture utilisée et la provenance des aliments sont des informations diffusées lors de l’allocution de notre directeur général; les efforts de notre traiteur ne passent donc pas inaperçus! Cette sensibilisation s’étend aussi aux thèmes des différents projets d’Équiterre qui sont déployés lors de la soirée et donnent une couleur à chaque édition de nos cocktails-bénéfices. L’organisation d’événements écoresponsables contribue à la mission d’Équiterre et est tout à fait conséquente avec nos valeurs.

Nos mesures responsables sont novatrices dans le sens où nous avons amené notre traiteur à travailler de concert avec un fournisseur de fruits et légumes biologiques du Québec. Le traiteur a dû élaborer son menu en fonction des aliments proposés et non le contraire. Voici donc ce sur quoi repose un approvisionnement alimentaire responsable, comme c’est le cas pour le cocktail-bénéfice d’Équiterre : utiliser les ressources disponibles à proximité et cuisiner selon les aliments de saison. Le zéro déchet : à cet effet, un ajustement est effectué à chaque changement au nombre de convives et la quantité de nourriture est calculée selon la durée de l’événement. De plus, les bouchées sont distribuées de manière efficace durant la soirée (ordre de sortie des bouchées, moment de les servir, etc.), pour ainsi proposer un événement 100 % « sans gaspillage ».

Prix Engagement socio-économique | remis par Kéroul
FestiVoix de Trois-Rivières

Depuis 2007, le FestiVoix s’est engagé dans le développement durable avec ses équipes, ses bénévoles, ses partenaires et surtout ses festivaliers devenus avec les années de véritables éco-festivaliers. Au FestiVoix, le développement durable est une véritable philosophie avec des actions vertes, sociales et économiques marquées par l’innovation et la concertation.

Le FestiVoix est un pionnier dans la région de la Mauricie en termes de développement durable. Chaque année, le festival met en place de nouvelles structures et de nouveaux services prometteurs pour s’adresser et sensibiliser directement le public afin qu’ils deviennent des éco-festivaliers.

Plusieurs mesures ont été mises en place pour l’événement, dont celles-ci en transport et efficacité énergétique :

  • L’organisation a renouvelé et développé son partenariat avec la Société de Transport de Trois-Rivières (STTR) afin d’offrir aux festivaliers, bénévoles et partenaires des services de transports en commun à faible coût.
  • Un service de 8 vélos-taxis gratuit et de 5 navettes électriques gratuites pour transporter les festivaliers entre les sites
  • Site piétonnier au centre-ville complètement fermé aux automobilistes pendant 9 jours
  • Fermeture de rues aux automobilistes au centre-ville de Trois-Rivières
  • Utilisation de 12 voiturettes électriques par les équipes de permanence et d’aménagement pendant la durée de l’événement.
  • Parc à vélos disponible gratuitement pour tous les cyclistes.
  • Promotion du covoiturage sur les plateformes numériques du festival.
  • Mise en œuvre des mesures d’économie d’énergie (tel que privilégier l’éclairage de sites de type DEL).

Le FestiVoix est engagé dans le développement durable depuis plusieurs années et en évaluant les impacts des mesures année après année on ne peut que se réjouir du degré d’implication des festivaliers qui progresse. Pour accompagner chaque nouvelle mesure, il est indispensable de bien sensibiliser et informer le public pour obtenir les résultats souhaités. Voilà pourquoi l’événement est passé de 6 à 27 bénévoles en 2015 faisant partie de notre escouade verte afin de sensibiliser et informer les festivaliers sur les mesures écoresponsables.

La principale difficulté n’est pas de convaincre le public du bien-fondé de ces mesures, mais plutôt de les convaincre de se mettre en action pour faire du FestiVoix un éco-festival. À cet effet, l’organisation met en place toute une campagne de promotion, et ce, plusieurs mois avant le début du festival. Des stratégies de communication ont été mises en place, afin de créer des messages adaptés. Un des éléments de succès est d’offrir des actions de développement durable qui ne soient pas une contrainte pour le festivalier, mais plutôt un service positif. Par exemple, l’offre variée en transport durable a permis d’apporter un avantage aux festivaliers tellement important qu’utiliser leur voiture ne devient plus un bénéfice pour eux. La partie n’est pas gagnée, et ce même si de nombreuses actions concrètes ont été posées et ont engendré des résultats positifs. En développant diverses actions, un cercle vertueux s‘est enclenché et a motivé les partenaires à embarquer dans le développement durable. Aujourd’hui, c’est l’ensemble des individus et des partenaires de l’événement qui sont impliqués dans un FestiVoix durable.

Prix 5e anniversaire | remis par le Bureau de normalisation du Québec
Festival International de Jazz de Montréal

Depuis ses débuts, le Festival démontre un profond respect des valeurs sociales et environnementales. Pionnier des actions écologiques en événementiel, il effectue, depuis plus de 20 ans, la récupération des matières résiduelles et a été l’un des premiers événements nord-américains d’envergure à être carboneutre, devenant une référence en matière de développement durable !

Parmi les mesures – engagements socio-économique :

  • Embauche de dizaines de raccrocheurs et de stagiaires, par Société développement social Ville-Marie. Les premiers sont affectés à l’entretien ménager et aux opérations. Provenant de Jeun’Est, les seconds vivent une expérience en technique de scène et production de spectacles ;
  • Personnes à mobilité réduite : prêt de chaises roulantes, zone réservée près de la scène principale, service d’accueil, suivi, transmission de plans par Internet ;
  • Planches à roulettes oubliées sur le site données à RecySkate, qui les récupère et distribue aux jeunes défavorisés ;
  • Don à la Maison du Père des objets trouvés non réclamés et de la nourriture non consommée préparée par le service alimentaire ;
  • Lunettes pour la vue non réclamées remises à un optométriste qui les réachemine en Haïti ;
  • Camp de blues : créé pour les musiciens d’ici, âgés de 13 à 17 ans, ce camp d’une semaine offre gratuitement une formation musicale de qualité, contournant la barrière des classes sociales pour ouvrir ses portes à tous.
  • L’aboutissement de ce stage : une prestation devant public au Festival !
  • JazzFest : permet à des musiciens d’institutions scolaires (secondaire à université) ou groupes communautaires amateurs de se produire au Festival. Ils doivent s’inscrire à Jazzde l’année tenu par JazzFest des jeunes du Québec, organisme permettant aux jeunes de vivre une expérience de scène et offrant des ateliers animés par des professionnels ;
  • Samajam : présentation d’un spectacle musical collectif créé dans le cadre du projet Persévérance scolaire Samajam, offrant gratuitement aux écoles un programme de formation en percussions, danse, musique et mise en scène ;
  • Présentation de la série Les envolées du Festival, consacrée aux étudiants universitaire ;
  • Le FIJM favorise le rayonnement du patrimoine musical en offrant des bourses et prix  : Grand Prix de Jazz TD : offert en soutien à la relève jazz canadienne. L’artiste primé remporte un trophée et une bourse de 5 000 $ et est invité au Festival l’année suivante. Il gagne aussi une participation aux Festi Jazz international de Rimouski et FestivalInternational de Jazz y Blues Zacatecas (Mexique), des heures d’enregistrement et une licence pour la fabrication et la distribution d’un album ;
  • Bourses du FIJM : en reconnaissance de l’excellence d’étudiants en jazz dans les universités montréalaises ;
  • Main-d’œuvre locale : embauche de personnel qualifié de Montréal, sans recours au bénévolat ;
  • Priorité aux fournisseurs locaux, en matière technique et alimentaire ;
  • 90 à 95 % des aliments vendus sont achetés à moins de 40 km de leur emplacement de distribution ;
  • Priorité à l’achat local pour les produits dérivés et à l’utilisation de matières écologiques, recyclables, durables ou biodégradables (64 % des achats reliés aux produits dérivés auprès de distributeurs ou manufacturiers locaux) ;
  • 84 % des achats de vêtements auprès de distributeurs ou manufacturiers locaux ;
  • 94 % des vêtements imprimés ou brodés localement ;
  • Sacs et accessoires à l’effigie du FIJM fabriqués de bannières publicitaires recyclées et offre de sacs écolos longue durée 100 % recyclables, vêtements écologiques (coton, teinture) et bouteilles d’eau réutilisables.

 

Pour le Grand Vivat :

  • Réduction à la source de toutes les matières utilisées.
  • Gestion serrée de la distribution des programmes.
  • Mise en place de stations de remplissage de bouteilles d’eau pour favoriser l’utilisation de contenants à usage multiple et don de bouteilles réutilisables par Naya aux employés.
  • Utilisation de contenants d’eau de 18 litres pour réduire la consommation de bouteilles d’eau individuelles et réutilisation de ces contenants en les remplissant sur place grâce à des filtres à eau sur les robinets.
  • Plus de 150 bacs de récupération sur le site de l’événement, ainsi qu’un bac par employé dans les bureaux.
  • Utilisation des plastiques nos 1 et 5 (plus facilement récupérables) depuis 2008, pour les verres des concessions alimentaires.
  • Récupération du bois (retourné à l’entrepôt).
  • Impression du programme sur du papier 100 % recyclé.
  • Affiches incitant au recyclage sur les lieux de l’événement.
  • Production de compost et utilisation de serviettes, verres et assiettes biodégradables en fécule de maïs par les concessions alimentaires.
  • Présence d’une Écho’Scouade pour conscientiser les festivaliers, commerçants et promoteurs aux comportements écoresponsables.
  • 70 préposés à l’entretien assurent la cueillette des matières.
  • Mise en ligne en 2012 d’un onglet sur la démarche de développement durable sur le site internet.
  • Comptabilisation des taux de récupération depuis 2002 et diffusion des pourcentages moyens sur le site internet.
  • De 90 à 95 % des aliments vendus sur le site sont achetés à moins de 40 km de leur emplacement de distribution.
  • Don à la Maison du Père de la nourriture non consommée préparée par le service alimentaire.
  • Pendant l’événement, le périmètre du Festival est carboneutre. Rio Tinto Alcan finance l’achat de crédits compensatoires pour permettre au Festival de neutraliser ses émissions de CO2, générées par la totalité des opérations.
  • Développé par le Festival avec le FAQDD et Planetair, l’outil de calcul des émissions de C02 est disponible gratuitement à tout événement désireux d’améliorer son dossier vert.
  • Utilisation exclusive de l’énergie hydroélectrique, pour tous les besoins en aménagement. Seules les génératrices d’urgence fonctionnent à l’essence.
  • Réduction de l’éclairage de nuit et de jour pour minimiser la consommation électrique.
  • Installation de supports à bicyclettes, dans une aire fermée et surveillée.
  • L’événement se déroule près de 2 métros et plusieurs lignes d’autobus.
  • Embauche de dizaines de raccrocheurs et stagiaires via la Société de développement social de Ville-Marie. Les premiers sont affectés à l’entretien et aux opérations. Provenant de Jeun’Est, les seconds vivent une expérience concrète en technique de scène et production de spectacles.
  • Personnes à mobilité réduite : prêt de chaises roulantes, zone réservée près de la scène principale, service d’accueil, suivi…
  • Les planches à roulettes oubliées qui n’ont pu être rendues à leurs propriétaires sont données à RecySkate, organisme récupérant les skateboards et les distribuant aux jeunes défavorisés.
  • Camp de blues d’une semaine gratuit pour musiciens de 13 à 17 ans.
  • Main-d’œuvre locale : Embauche de personnel qualifié de Montréal, sans recours au bénévolat.
  • Priorité aux fournisseurs locaux, en matière technique ou alimentaire.
  • 64 % des achats de produits dérivés sont faits auprès de distributeurs ou manufacturiers locaux.
Le grand Vivat remis par Loto-Québec
Budget de moins de 500 000 $ - Festival Eau Grand Air de Baie-Comeau

Créé par de jeunes professionnels bénévoles, le Festival Eau Grand Air de Baie-Comeau est un événement d’envergure aux couleurs de la Côte-Nord : spectacles musicaux en plein air, animations pour tous, activités sportives, découvertes des produits du terroir et plus encore! Fierté des résidents de la Manicouagan, nos ambassadeurs, le festival est une vitrine exceptionnelle pour faire connaître et promouvoir notre région!

Au sein du comité organisateur, un poste est dédié au développement durable (DD). En nommant un responsable, le comité s’assure d’orienter ses actions et ses priorités en maximisant les retombées positives sur les plans économiques, environnementaux et sociaux. En s’alliant avec divers partenaires, dont la Régie de gestion de matières résiduelles de la Manicouagan (RGMRM), le Festival s’est assuré de promouvoir l’éco responsabilité.

Voici quelques exemples des actions DD :

L’ACCESSIBILITÉ ET LA DIVERSITÉ AU COEUR DU FESTIVAL

  • Favoriser l’accès aux spectacles par une programmation variée s’adressant à plusieurs publics;
  • Favoriser l’accès au plus grand nombre par la distribution de bracelets gratuits à divers organismes;
  • Favoriser l’accès aux personnes à mobilité réduite aux lieux de spectacles (espaces adéquats près de la scène);
  • Promouvoir les déplacements alternatifs (installation d’un stationnement à vélo, incitation au covoiturage, transmission d’informations sur le transport en commun dans le site Internet).

L’ÉCONOMIE LOCALE GAGE DE SUCCÈS

  • Intégrer des spectacles d’artistes locaux dans sa programmation et collaborer avec des équipes locales;
  • Recourir à des fournisseurs locaux, lorsqu’impossible, à des fournisseurs québécois;
  • Offrir des produits locaux dans ses espaces de restauration.

LA SENSIBILISATION, UN INCONTOURNABLE

  • Organiser des activités de sensibilisation autour du DD en collaboration avec la Ville de Baie-Comeau et la RGMRM (Escouade Verte Manicouagan);
  • Sensibiliser son public à ses initiatives écoresponsables par des actions d’information et de communication.

L’ENVIRONNEMENT, MOTEUR DE L’ORGANISATION

  • Appliquer les 4R : repenser, réduire, recycler, réutiliser;
  • Réduire l’offre d’eau embouteillée par l’ajout du camion distributeur d’eau potable, la vente de bouteille réutilisable à faible coût et l’offre de bouteille au comité organisateur et bénévoles;
  • Estimer et compenser les émissions de CO2 en participant au Programme de compensation des gaz à effet de serre de la Manicouagan de l’Organisme des bassins versants de la Manicouagan (OBVM);
  • Fournir aux membres du comité et aux bénévoles des t-shirts de fibres biologiques;
  • Mettre en place un système de billetterie dématérialisée (vente en ligne des bracelets);
  • Faire l’acquisition d’objets promotionnels réutilisables, recyclables ou recyclés;
  • Instaurer un programme de gestion des matières résiduelles comprenant le tri de tous les bacs pour favoriser la récupération;
  • Utiliser du papier composé à 100 % de fibres recyclées et certifié FSC;
  • Limiter en amont le nombre et la taille de ses supports de communication (programmation revue et réduite);
  • Mettre en place un suivi détaillé des quantités imprimées et diffusées (programmes, affiches, etc.);
  • Privilégier les envois électroniques;
  • Recycler les documents d’information et de communication non utilisés;
  • Guider les restaurateurs sur les exigences en matière de DD par une clause dans les appels d’offres (Éviter les portions de nourriture sur emballées ou emballées individuellement, donner les surplus de nourriture à des organismes, utiliser des contenants recyclables, etc.);
  • Effectuer le suivi de la mise en oeuvre des actions entreprises en matière de DD de manière à les bonifier de festival en festival.

LA COMMUNAUTÉ COMME LEVIER

  • Reconnaître l’implication des bénévoles;
  • Informer la population (envoi de plus de 1000 lettres aux résidents du quartier (heures des spectacles, consignes, accès, etc.);
  • Prendre en compte les commentaires des participants;
  • Offrir la prévente de billets à la communauté locale, des places disponibles dans des zones VIP pour la communauté d’affaires, etc.

Le point d’ancrage d’une saine gestion est la vision d’avenir que partagent de façon commune les membres de la Corporation. Cette vision guide la fixation des objectifs et la gestion des ressources matérielles et financières, dont découlent les mesures responsables. Avant toute chose, l’instauration des mesures s’inscrit dans un processus d’amélioration continue rendant la démarche vivante et évolutive. Après chaque édition, le post mortem permet de recadrer l’événement. Le côté novateur réside non pas dans le choix des actions qui peuvent se ressembler d’un événement à un autre, mais bien dans la gouvernance de ces mesures.

Budget de plus de 500 000 $ - Mondial des Cultures de Drummondville

Depuis sa création en 2005, le comité Mondial Vert s’engage à réduire considérablement les impacts environnementaux de l’événement dans la communauté: recyclage multimatières, compostage, stationnement pour vélo, navettes et transports en commun gratuits, choix de fournisseurs locaux, activités d’éducation et de sensibilisation (la Zone Verte), collaboration avec des partenaires et organismes locaux et plus encore!

À la suite d’une prise de conscience au sujet des impacts environnementaux générés par la tenue de l’événement, la direction a créé, en 2005, le comité Mondial Vert. Ce comité est responsable de la planification et de la réalisation des actions environnementales du Mondial des Cultures selon les trois axes suivants : 

La gestion des matières résiduelles :

Bien que l’équipe du Mondial Vert s’efforce de réduire les matières résiduelles à la source, de nombreux bacs de recyclage multi-matières sont mis à la disposition des festivaliers, des artistes, des bénévoles et des employés. En plus, du papier, du carton et des bouteilles de verre et de plastique, le Mondial Vert recycle également les piles, les bouchons de bières, les plastiques mous, les goupilles et les laissez-passer, des macarons en aluminium. Depuis 2013, une équipe s’occupe de faire le tri journalier des bacs verts afin de s’assurer que tous les articles consignés le soient et non seulement jetés au recyclage.

Une équipe est également en place au centre d’hébergement pour s’assurer que tous les résidus alimentaires en provenance de la cuisine et des utilisateurs de la cafétéria soient compostés. Aussi, les huiles alimentaires usagées sont traitées à la source en vue d’être utilisées à d’autres fins.

Finalement, autant les artistes, que les bénévoles ou les festivaliers sont encouragés à diminuer leur consommation d’eau en bouteille. C’est pourquoi, plusieurs points d’eau sont installés pour que tous puissent remplir leur gourde.

La diminution et la compensation des gaz à effet de serre (GES) :

Pour réduire les gaz à effet de serre produits par l’événement, les festivaliers habitants à proximité sont encouragés à enfourcher leur vélo et à se stationner à un emplacement dédié aux bicyclettes.

Pour les automobilistes, un stationnement incitatif gratuit est mis à leur disposition ainsi qu’une navette via le transport en commun de la Ville de Drummondville.

Une fois par année, l’équipe du Mondial Vert déclare les gaz à effet de serre produits par les visiteurs et les participants. L’organisation s’occupe également de sa plantation de plus de 4000 arbres réalisée en 2013.

Les activités d’éducation et de sensibilisation :

Pour sensibiliser le public à l’environnement, un lieu, nommé la Zone Verte, a été conçu spécialement pour présenter des trucs et astuces pour protéger notre planète. Une activité de bricolage écologique est également organisée à cet endroit et tout au long de l’événement, la Patrouille Verte y est présente afin de conscientiser les visiteurs à leur empreinte écologique. En nouveauté cette année, un jardin de fines herbes réalisé à partir de bouteilles recyclées et un concours de restauration artistique de poubelles. Nous avons aussi collaboré avec Repti-zone et fait une envolée de monarques afin de miser sur la conservation des espèces animales.

Toujours dans l’objectif de conscientiser les visiteurs, un affichage rigoureux visant la sensibilisation a été implanté à travers tout le site extérieur et au centre d’hébergement.

Finalement, notons que les nombreux camions réfrigérés fonctionnent maintenant à l’électricité plutôt qu’au gaz. De plus, le Mondial tente d’intégrer l’éco responsabilité comme critère dans le choix des partenaires financiers. Les cuisiniers et les restaurateurs sur le site sont priés d’utiliser au maximum des aliments locaux.

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Marie-Ève Lachance-Foisy
Conseillère en transition socioécologique

Conseil québécois des événements écoresponsables

Biographie

Son parcours a commencé avec l’obtention d’un baccalauréat en études de l’environnement, une étape qui lui a permis de saisir l’ampleur des enjeux environnementaux et sociaux ainsi que l’importance cruciale d’agir concrètement. En poursuivant des études de deuxième cycle en gestion du développement durable, elle a acquis les compétences nécessaires pour se consacrer pleinement à sa passion qu’elle pratique depuis maintenant 3 ans : aider et soutenir les organisations dans leur démarche d’amélioration de leurs pratiques écoresponsables.

Marie-Ève est reconnue pour son dynamisme et son enthousiasme communicatif, qualités qui enrichissent son engagement et son efficacité dans ce domaine. Elle se distingue par sa capacité à mobiliser les équipes et à transformer les défis en opportunités pour un avenir plus durable.

Thomas Gregoire
Directeur général et artistique

FestiVoix de Trois-Rivières

Sujets d’intérêt
Politique et pratiques de développement durable dans un contexte de festival.

Biographie
Thomas Grégoire, est directeur général et artistique du Festivoix de Trois-Rivières depuis novembre 2014 et œuvre dans le domaine de l’événementiel depuis une quinzaine d’années. Auparavant, il était directeur général adjoint de cette organisation où il était chargé principalement du marketing, des communications et des partenariats tout en poursuivant des activités de consultant en gestion de projet et en marketing avec le studio de communication Créations Cynic. En complément de ses fonctions au FestiVoix, Thomas Grégoire siège sur différents conseils d’administration au nveau régional et provincial notamment celui d’Événements attractions Québec et du REMI (Regroupement des événements majeurs internationaux).

Isabelle Kaliaguine
Designer et fondatrice

Kaliaguine inc. et hop!

Sujets d’intérêt
Accompagnement écoresponsable pour impression, signalisation et solutions d’aménagement d’événements
Accompagnement pour solutions de valorisation – Éconception

Biographie
Isabelle Kaliaguine est une designer d’événement de plus de 20 ans d’expérience; impliquée dans des événements de grande envergure. Depuis plusieurs années, elle s’implique activement pour le développement et la mise en application de solutions écoresponsables, et collabore depuis 2015 avec le Conseil québécois des événements écoresponsables par des formations et du mentorat. Dans la dernière année, Isabelle a fondé hop! une entreprise qui donne une 2e vie aux bannières événementielles et autres matériaux imprimés en grands formats et les transformant en items utiles à l’aménagement d’événements et en produits dérivés.

Karelle Trottier
Chargée de projet – Événements écoresponsables et santé environnementale

CQEER

Sujets d’intérêt
Gestion des matières résiduelles, calcul des GES, santé environnementale, sélection des fournisseurs, événements écoresponsables, événements sportifs.

Biographie
Karelle a étudié en environnement à l’UQAM au baccalauréat en sciences naturelles appliquées à l’environnement et à la maîtrise en sciences de l’environnement en recherche. Axée sur l’interdisciplinarité, elle s’intéresse à plusieurs domaines incluant la gestion des matières résiduelles, la santé, la lutte aux changements climatiques et la protection des milieux naturels. Elle travaille maintenant comme chargée de projet au Conseil québécois des événements écoresponsables où elle accompagne tous types d’événements, mais principalement des événements sportifs, comme l’Omnium Banque Nationale, les Régates de Valleyfield, les courses CRYO et divers événements organisés par Vélo-Québec. Elle a eu la chance de travailler aussi avec de gros événements corporatifs, comme Sommet Climat Montréal et la COP 15 et avec le Ministère des relations internationales et de la francophonie.
Karelle aime s’informer sur tous les sujets qui touchent l’environnement, elle pourra donc vous aider en envoyant des références à lire pour aller plus loin sur le sujet. Elle aime particulièrement le plein air, ce qui l’amène à s’intéresser beaucoup aux 7 principes Sans Trace et à l’impact des événements sur la faune et la flore, mais aussi sur la santé humaine.

Sophie-Laurence H. Lauzon, M. Env.
Conseillère en développement durable

Conseil québécois des événements écoresponsables

Sujets d’intérêt
Événements écoresponsables, développement durable, gestion des matières résiduelles, approvisionnement responsable, développement de politiques d’événements écoresponsables et d’outils pour assurer la mise en œuvre de l’écoresponsabilité.

Biographie
Conseillère en développement durable, Sophie-Laurence accompagne différentes organisations dans leur démarche d’écoresponsabilité. Diplômée du baccalauréat en études de l’environnement et de la maîtrise en gestion de l’environnement de l’Université de Sherbrooke, elle a développé de fortes compétences en gestion des matières résiduelles, approvisionnement responsable et mise en œuvre de démarches de développement durable notamment en événementiel. Ayant mené une étude statistique sur l’événementiel écoresponsable en 2020 et ayant développé un guide sur la gestion écoresponsable et sanitaire des événements en 2021, elle connaît bien les tendances écoresponsables et les réalités du secteur événementiel québécois. Sophie-Laurence accompagne de nombreux organisateurs d’événements culturels, corporatifs et gourmands à entreprendre un virage vert, approfondir leur démarche d’écoresponsabilité ou classifier leur événement selon la norme BNQ 9700-253.  Reconnue pour son souci du détail et sa nature passionnée, Sophie-Laurence est déterminée à soutenir les organisations à prendre un virage qui soit en cohérence avec les défis environnementaux actuels.

Dominic Laperrière-Marchessault
Agente de projets, promotions & événements spéciaux

Espace pour la vie (Ville de Montréal)

Sujets d’intérêt
Événements écoresponsables, lieux d’accueil écoresponsables, développement de politiques d’événements écoresponsables et d’outils pour accompagner les organisateurs d’événements, accueil de tournages écoresponsables.

Biographie
Dominic travaille à la location des salles des musées d’Espace pour la vie (Biodôme, Biosphère, Jardin botanique, Insectarium et Planétarium Rio Tinto Alcan) depuis cinq ans. À titre d’agente de projets, elle coordonne l’accueil d’environ 80 événements corporatifs et tournages par année. En 2021, elle est devenue la première candidate à obtenir l’attestation du programme de formation appliqué en événementiel responsable du CQEER  et elle a entamé un certificat en Développement durable à l’Université Laval. Ses formations lui ont permis de développer une politique de gestion responsable d’événements ainsi que divers outils pour accompagner les locataires de salles dans l’atteinte de leurs objectifs.

Pablo Maneyrol
Directeur Affaires institutionnelles

TOHU

Sujets d’intérêt
Implantation d’une démarche de développement durable en entreprise. Indicateurs et reddition de compte. Salles de spectacle écoresponsables. Partenariats et maillages intersectoriels.

Biographie
Possédant une quinzaine d’années d’expérience professionnelle dans le secteur culturel (et particulièrement des arts vivants), Pablo Maneyrol est actuellement Directeur Affaires institutionnelles pour la TOHU, une salle pionnière en développement durable par la culture. Avec cet organisme reconnu pour ses pratiques innovantes en environnement et développement communautaire, il retrouve ses premières amours puisque sa carrière avait débuté dans la RSE.
Ses champs de compétence incluent les relations gouvernementales, la planification stratégique, l’implantation de plans d’action et indicateurs, et la coordination de projets en développement durable.
Il siège aux C.A. de Culture Montréal et du CESIM, et il copréside la commission permanente Culture et transition écologique de Culture Montréal.

Hélèna Gervais
Agente de développement industriel

RECYC-QUÉBEC

Sujets d’intérêt
Gestion des matière résiduelles, retrait des bouteilles d’eau à usage unique, escouade verte ainsi que gestion des matières compostables et commerces.

Biographie
Titulaire d’un baccalauréat en communications – relations humaines, profil international de l’UQAM ainsi que d’une maîtrise en environnement de l’Université de Sherbrooke, Hélène Gervais œuvre au sein de la société d’État RECYC-QUÉBEC depuis 2006, à titre d’agente de développement industriel. Son expertise en économie circulaire, combinée à ses connaissances en gestion des matières résiduelles, ont été mises à profit sur divers dossiers dont l’organisation des deux éditions des Assises québécoises de l’économie circulaire, la réduction à la source des matières résiduelles, la réparation et l’obsolescence, le recyclage des plastiques ainsi que la collecte sélective des matières recyclables. Depuis 2018, Hélène est également chargée de cours en économie circulaire à l’Université de Sherbrooke. En 2016, elle a œuvré à titre de chargée de projets à l’Institut de l’environnement, du développement durable et de l’économie circulaire où elle a coordonné un important projet de recherche portant sur l’économie circulaire et les métaux, pour le compte du ministère de l’Énergie et des Ressources naturelles du Québec. Elle s’implique aussi sur des conseils d’administration d’organismes liés à l’éducation relative à l’environnement.

Patrick Kearney
Directeur général du Festival Santa Teresa – Président du REFRAIN

 

Sujets d’intérêt
Gestion des matière résiduelles, retrait des bouteilles d’eau à usage unique, escouade verte ainsi que gestion des matières compostables et commerces.

Biographie
Directeur général du Festival Santa Teresa et président du REFRAIN, Patrick Kearney a mis en place pour son festival un projet écoresponsable (Vert Teresa) qui a permis au festival de mériter le Prix Vivats RECYC-QUÉBEC | Gestion responsable des matières résiduelles en 2019. Patrick est détenteur d’une maîtrise en gestion et développement des organisations. 

Isabelle Moïse
Directrice des opérations, Dossiers et développement stratégiques

RECYC-QUÉBEC

Sujets d’intérêt
Événements écoresponsables, lieux d’accueil écoresponsables, développement de politiques d’événements écoresponsables, certification BNQ (9700-253). Outils, bonnes pratiques d’ici et d’ailleurs, gestion des GES et approvisionnement responsable pour les organisateurs d’événements internationaux.

Biographie
Titulaire d’un B.A.A. en Marketing et Management de HEC Montréal, Isabelle Moïse cumule 20 ans d’expérience en gestion d’événements corporatifs et de portée internationale. Ayant travaillé autant en agence que comme consultante, Isabelle a réalisé plus de 200 événements au cours de sa carrière : congrès, colloques, expositions et galas. Tout au long de son parcours, elle a accompagné plusieurs organisations dans leur transition vers des événements durables et écoresponsables notamment en les guidant pour l’obtention de la certification BNQ en gestion responsable d’événements (9700-253). Ses compétences reconnues en communication, en opération et développement stratégiques l’ont amenée à rejoindre les rangs de RECYC-QUÉBEC en 2020 comme directrice des opérations pour les dossiers et le développement stratégiques. Elle a notamment sous sa direction l’organisation des Assises de l’économie circulaire qui se tiennent aux deux ans.

Maëlle Minier
Chargée de projets en événements écoresponsables

Maëlle a toujours eu un intérêt pour l’accompagnement à la transition, diplômée d’un baccalauréat en études internationales, elle voulait initialement faire carrière dans l’humanitaire et la stabilisation politique des états. La question environnementale l’a pourtant rattrapée et lui a donné envie de s’investir professionnellement dans l’amélioration de nos espaces de vie. Après un an au service d’une association de sensibilisation et d’accompagnement à la transition écologique en France, elle a choisi de revenir à Montréal pour compléter son cursus en environnement et développement durable à l’UdeM. Différentes expériences, en gestion de brigade verte sur des festivals notamment, lui ont donné envie de contribuer à la mobilisation, tant pour la santé humaine que celle des écosystèmes et des générations futures.

 

Caroline Larocque
Chargée de projets en développement durable et communications

Caroline a fait des études de deuxième cycle en développement durable à l’Université de Sherbrooke et détient un brevet d’enseignement, ainsi qu’une expérience en gestion d’entreprise et en marketing. Elle s’intéresse au rôle et à l’impact positif que peuvent avoir les organisations sur l’environnement, ainsi qu’aux enjeux liés au marketing responsable et à la communication des actions écoresponsables entreprises par les organisateur·trices d’événements.

Camille Guédon
Chargée de projets en arts vivants et tournages écoresponsables

Très intéressée par les enjeux environnementaux et leur application dans le milieu des arts et de la culture, Camille Guédon détient un baccalauréat en communications de l’Université de Sherbrooke et une maîtrise en gestion du tourisme de l’Université du Québec à Montréal. Alors qu’elle travaillait comme gestionnaire de la programmation au 375e anniversaire de Montréal, elle a également étudié à HEC Montréal au DESS en gestion des organismes culturels. Camille a aussi travaillé comme coordonnatrice auprès de plusieurs organismes publics tels que Tourisme Montréal et la Ville de Montréal.

Aurélie Jeanroy
Chargée de projets en arts vivants et événements écoresponsables

Engagée depuis ses études de maîtrise en management environnemental à La Rochelle en France, Aurélie a toujours voulu avoir un rôle dans la lutte contre les changements climatiques. Elle s’est mobilisée dans plusieurs associations étudiantes, et plus tard dans une association de sensibilisation à la gestion durable des matières résiduelles dans des festivals et manifestations culturelles, à Paris. Aurélie aime la musique et la culture, et pense qu’il est aujourd’hui nécessaire de produire et de réaliser des projets culturels de manière durable.

Garance François
Chargée de projets en arts vivants

Diplômée d’une maîtrise en environnement de l’Université de Sherbrooke, Garance souhaite conjuguer son engagement pour l’environnement avec sa passion des différentes formes d’arts. À travers divers projets universitaires, elle s’intéresse de plus en plus à la mise en œuvre de démarche environnementale dans les contextes événementiels et culturels. Son essai sur l’économie circulaire appliquée dans les festivals de musiques témoigne de son engagement à fusionner ces deux domaines. Elle est désormais déterminée à accompagner les organisations culturelles dans leur démarche écoresponsable. Garance a rejoint l’équipe dans le cadre d’un remplacement de congé parental.

Lize Bizzoni
Directrice général adjointe
Lise Bizzoni a plus de 19 ans d’expérience en coordination et gestion de projets dans le milieu universitaire. Grâce à sa formation universitaire et à son expérience en administration de la recherche et de la culture, elle a développé une solide connaissance de la gestion opérationnelle d’une organisation et du travail multisectoriel. Elle a d’ailleurs été récipiendaire du 3e Prix d’excellence des professionnel·les de recherche décerné par les Fonds de recherche du Québec en 2018. Très à l’aise au sein d’une équipe, elle a à cœur de construire des relations harmonieuses dans ses équipes de travail, fondées sur le respect, la collaboration et la reconnaissance des forces de chacune. Son action bénévole se concentre au sein d’une association 2SLGBTQIA+ et elle réserve le reste de son temps libre à son potager.